dimanche, août 31





il existait un temps, dans le temps de la vie,
un temps insoupçonné, des veilles à venir, des endormissements lourds de fatigues prévues.
il y avait un temps pour de nouveaux éveils,
des réveils aussi longs que les heures à venir,
des paupières murées sur des images folles,
et de folles lumières éteintes en vaunage,
il y avait des ombres, des frolements distants
la douceur et le vert d'un regard éperdu,
tel un lac,
un lagon,
une fraicheur nouvelle.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour
Cela faisait longtemps que je n'avais pu vous rendre visite. Vos mots et vos photos m'ont manqué. Belle rêverie autour de ces troncs enlacés, ne faisant plus qu'un... Greffés face au désastre du temps.
Poursuivez vos rêveries et offrez nous leur souffle.
Vita

Anonyme a dit…

merci pour la fidélité...
toy,

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quelqu'une en quête de surprises, d'épatements divers en recherche permanente d'autre chose !!

un detour, et....

un detour, et....
le mystère des rues....et des pierres..