lundi, mars 17












Ne faire plus rien que ça : que laisser s'écouler des phrases inconnues à la seconde même,
des cortèges de mots s'étirent sur la peau,
des voyages statiques surprennent les réveils,
des bruissements d'alcôve à nos oreilles, glissent.
chuchotements sans cris,
lenteurs et négligeance des heures sans sommeil...

Tous les fruits de la mer à mes pieds écrasés,
je n'avais jamais vu tant de couleurs offertes,
j'avais les yeux fermés depuis longtemps déjà sur tous ces camayeux de gris, de bleus.
Un simple soupir parfois peut réveiller le corps,
les gisants dans les cryptes attendent la caresse
et leur regard de pierre s'anime d'autant plus
que la main est experte !

c'étaient de grands éclats de vent
giflant la face du monde,
je me sentais vainqueur sur tous les éléments,
et de l'eau
et du temps, et ce vent,
les deux mains dans les poches
je longeais la digue de la mer, face au phare,
tu devais être en haut....

le puzzle d'une vie !
Craquelée est la terre
sables mouvants,
marais,
le phare encore
loin !
marcher, marcher, marcher lelong des grèves
se compte en jour
l'ascension des marches...

Qui êtes-vous ?

Ma photo
quelqu'une en quête de surprises, d'épatements divers en recherche permanente d'autre chose !!

un detour, et....

un detour, et....
le mystère des rues....et des pierres..