jeudi, novembre 20

ailes



mon inquiétude, tient au fait, parfois... de ne plus rien ressentir...
je ne ressens plus trop le monde,
ailes repliées, je ne me disperse pas,
ailes repliées, je garde ce que j'ai.
ailes repliées, je ne m'envole pas,

égoïsme, indifférence ? la rançon de mon âge ?
je concentre mes forces, pour durer, ailes et moi

Marcel Proust ? observations avérées..




"bien souvent, pour que nous découvrions que nous sommes amoureux, peut être même pour que nous le devenions, il faut qu'arrive le jour de la rupture !..........."

"si nous n'avions pas de rivaux,
le plaisir ne se transformerait pas en amour ........"


je dis : ce qui est pratique avec Proust, c'est qu'on peut le lire toute sa vie. On aura toujours raté un passage, un chapitre, une phrase, un extrait, quelques pages...
ainsi,
on n'en finit jamais avec "la recherche"


le temps,

















































































le temps défigure,
le temps remodèle un visage,
comme le temps ravage ! et comme il parchemine !
il nous écrit au front, il nous écrit aux yeux.
et crie la vérité à la face du monde
l'amertume a sa ligne,
un peu accentuée.
le rire de la joie, tracée légèrement,
la ride du sommeil en travers de la joue
est-ce vraiment le drap qui marque, ce matin ?

Qui êtes-vous ?

Ma photo
quelqu'une en quête de surprises, d'épatements divers en recherche permanente d'autre chose !!

un detour, et....

un detour, et....
le mystère des rues....et des pierres..