visibles, invisibles...
la douleur vient du décalage entre la vie écrite au visage,
et la jeunesse de l'esprit.
marcher sur un chemin bordé d'arbres nouveaux,
cueillir des fleurs étrangères, soudaines,
taper dans des cailloux en signe d'insouciance,
se dénuder encore avec légèreté
se donner à l'amour car lui seul, n'a pas d'âge,
question enfantine :"dis, pourquoi elle a des marques la dame" ?
j'avais oublié ça,
j'avais oublié les marques
en décalage...
4 commentaires:
"Prenez avec bonté le conseil des années, en renonçant avec grâce à votre jeunesse." tiré d'un texte nommé "Désir" donc l'origine n'est pas certaine... Texte magnifique d'ailleurs. A-Cl
je connais pas ce texte, mais la citation donne le désir...
Comme tous les chemins, ceux qui parcourent le visages, sont multiples et variés. Il y a ceux qui incitent à les parcourir, à les découvrir car ils semblent receler des richesses. Caresser ce chemin c'est avoir au bout des doigts le passé secret de l'être. Ces chemins sont alors invitation, tentation. Parfois au contraire, le chemin effraie car il dévoile un coeur atrophié.
Je porte la carte de ma vie entre mes yeux, ma bouche. les sillons révélent le coeur qui ne peut plus se cacher.
Vita
merci....Vita,
j'avais dans le blog écrit déjà sur ces "rides" et ces traces..
le "ravagement" dirait presque MD.
bonne journée à vous,
toy
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